CREVOISIER Pierre - "Elle portait un manteau rouge"
Comme sur un écran de cinéma, on démarre en noir et blanc, on y voit un jeune photographe sur le compte à rebours d'un suicide annoncé minutieusement, méticuleusement, scientifiquement, préparé.
Une famille banale aux yeux des gens ordinaires. On y tombe dedans et on se prend une claque magistrale tant la violence qui y règne est insupportable. Une rencontre, des amants, un choc foudroyant !
L'amour, le vrai, enfin !
Puis vient la dépendance ; le sexe, une sensualité débridée, la soumission,
les fantasmes, la perversion, un désir sisyphien... puis le vice, puis le vide.
Sous le manteau : la souffrance, le désarroi, les peurs, les doutes, l'extase,
la mort...
Derniers commentaires
Ohh! C’est bien joliment dit! Merci !
Nos destins devaient se croiser aujourd'hui, alors que je viens de poster cette critique. Nos partages sur Messenger m'ont mise en émoi, comme si le temps s'était arrêter. A très vite.
Grâce a toi je vais le relire (-;
Bonjour, savez-vous qui a écrit cet article? On vous remercie beaucoup, il s'agit de notre grand-maman qui lit aujourd'hui ce bel article.